En 2010, la FAFVAC organisait son 5e congrès annuel en collaboration avec le World Small Animal Veterinary Association Congress, la FECAVA et la SVK-ASMPA.

Lors de ce congrès, les membres du conseil d’administration en ont profité pour se réunir et faire le point sur les activités et projets. Étaient présents les Drs Maurice Roze (France), Sylvie Blain (Québec), Jean-François Rousselot (France), S. Mzabi (Tunisie) et Isabelle Becquart (Suisse).

Lors de cette rencontre, à la suite de la suggestion du Québec, Haïti a été accueilli au sein de la FAFVAC et même si ce pays est désorganisé, cela constitue pour la fédération, un geste de solidarité. Et pour appuyer cet acte, l’AVMQ a payé une cotisation symbolique de 50 euros pour son intégration.

Les discussions ont été animées et fructueuses afin de nouer des liens informatifs, scientifiques et amicaux, entre tous les membres de la francophonie vétérinaire. D’autres projets ont été discutés comme une aide possible pour Haïti et la participation à un congrès africain portant sur la rage en décembre 2010.

Par ailleurs, le Luxembourg a pris la décision de se retirer de la FAFVAC en raison de difficultés à recruter un nombre suffisant de membres pour payer sa quote-part à la Fédération. Cependant, nous avons appris une bonne nouvelle lorsque l’Algérie choisissait de se joindre à la FAFVAC.

Grâce à la qualité et le choix des conférences présentées, la convivialité des soirées récréatives et une organisation sans failles, ce congrès a été une réussite.

Un merci au comité d’organisation dirigé par le Dr Chris Amberger ainsi qu’à l’Association suisse de médecine des petits animaux et son président, Jean Pfister pour leur accueil.

Durant toute la durée de ce congrès international, la francophonie était bien représentée par des sessions journalières complètes de conférences en français. Elles ont été préparées par le comité scientifique dirigé par le Dr Frédéric Gaschen.

Ce congrès a permis à la FAFVAC de se faire mieux connaître des autres associations et des participants tout en tissant de bonnes relations avec différents dirigeants de compagnies désireuses de nous venir en aide.